Ma première impression à Francfort a
été celle du vertige, si je puis m'exprimer de cette manière, tout
simplement parce que depuis mon arrivée, je suis constamment en
train de monter et de descendre.
Pour commencer, le premier jour, rien
ne m'a choqué plus que ça, des marches, oui, mais je n'en est monté que pour aller
dormir ; donc, rien d'exceptionnel.
C'est à partir du deuxième jour que j
ai commencé à me rendre compte de l'ampleur de ce que je vivais au
quotidien.
Chaque matin je commence par un aller-retour de ma chambre, qui se trouve au 2ème étage, à la salle de
restauration tout en bas au sous-sol.
Après avoir fini de me préparer, je
pars rejoindre mon groupe qui attend au rez-de-chaussée pour se
rendre au lycée . Je descends donc des marches pour prendre le
métro.
Je remonte encore des escaliers pour sortir du métro et en entrant dans le lycée, je suis choqué de voir qu'il y a des escaliers dans tous les sens : deux escaliers tournants suivis d'une longue rampe pour accéder à la salle de cours au 3è.
Je remonte encore des escaliers pour sortir du métro et en entrant dans le lycée, je suis choqué de voir qu'il y a des escaliers dans tous les sens : deux escaliers tournants suivis d'une longue rampe pour accéder à la salle de cours au 3è.
Un escalier en colimaçon pour redescendre directement en rez-de jardin vers la cafétéria, les toilettes et la cour.
14h30, fin des cours. Et c'est reparti
pour toutes ces montées et ces descentes sur le chemin du retour.
Mais là où ça devient intéressant,
c'est quand nous partons découvrir la ville et plus principalement
la partie commerçante, car tous les magasins ressemblent
principalement à des tours tout en hauteur et non en largeur comme
chez nous.
Dans certains magasins, les escalators
s'entremêlent, partent dans un sens et puis dans l'autre.
On monte tellement haut qu'on a même un point d’observation sur la ville entière.
Romain Gobert
Endlich kommen wir in Frankfurt
an und uns wird direkt schwindelig. Überall sind Treppen
und man hat das Gefühl, das man eigentlich nur auf und ab geht,
ausser an den Ampeln, da müssen wir warten. Nach vielen Auf- und
Abstiegen erreichen wir eine Schule mit der wir bis 14 Uhr
zusammenarbeiten und dann kommt der spannende Teil : die
Stadtbesichtigung. Wir klappern hauptsächlich die Geschäfte ab und
sehr auffällig im Vergleich zu unserer Heimat ist, dass die
Geschäfte nicht so lang sind wie bei uns, sondern sie eher in die
Höhe ragen und um die Etagen zu erreichen, muss man was benutzen ?
Natürlich Treppen !
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